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BARNES Manuel mondial de la propriété 2023

Malgré l'instabilité économique mondiale et le retour de l'inflation, l'immobilier de luxe s'est une fois de plus imposé comme la valeur refuge par excellence face à l'incertitude. Le BARNES Global Property Handbook, publié une fois par an, donne un aperçu des marchés immobiliers mondiaux et des destinations les plus recherchées. Cette année, le Top 5 du BARNES City Index est en effet contradictoire, avec Paris, incontournable européen, en tête du classement. A la capitale française succèdent trois villes américaines : Miami, New York et Austin. Enfin, Dubaï occupe la 5ème position avec son impressionnante vitalité économique.

« Animés d'un véritable esprit d'entreprise, les acquéreurs haut de gamme affichent aujourd'hui une attitude de diversification, non seulement dans le type de biens qui les intéressent […] mais aussi dans leur localisation. De New York à Paris et Lisbonne, de Miami à Dubaï et Saint Tropez, et de la Côte Atlantique aux stations de sports d'hiver », commente Thibault de Saint Vincent, Président de BARNES.

En la matière, les résidences secondaires ont le vent en poupe. Concernant les destinations en bord de mer, les destinations les plus convoitées sont : Saint Barth pour ses paysages idylliques et sa délicieuse gastronomie, Les Hamptons pour leur calme et leur tranquillité, La Côte d'Azur française pour son architecture et son élégance, Guanacaste pour son patrimoine naturel et culturel et, enfin , Maurice pour son climat tropical et sa faune incomparable.

De plus, l'immobilier de luxe est en constante évolution et certaines destinations émergentes pourraient devenir les investissements et les résidences de demain. Tokyo occupe la première place de ce classement avec sa productivité élevée et des prix de l'immobilier qui ne cessent d'augmenter. La capitale britannique Londres prend la deuxième place grâce à son nombre croissant d'Ultra High Net-Worth Individuals. En troisième lieu, on observe Rome, aussi appelée la « Ville Éternelle » qui ne cesse d'attirer pour sa Dolce Vita. Monaco, connue pour sa stabilité politique et sa sécurité mais aussi sa gastronomie, se situe juste derrière Rome. Enfin, Madrid est en passe de devenir un havre de paix pour les européens et les internationaux.

État du marché immobilier à New York avec Yann Rousseau

Rencontrez Yann Rousseau, directeur de BARNES New York, qui fait le point sur le marché immobilier new-yorkais.

En cet automne traditionnellement très actif du point de vue du marché immobilier new-yorkais , et alors que ce dernier semblait avoir retrouvé sa saisonnalité historique, on assiste à un net ralentissement de l'activité.

Et ce des deux côtés de la table, avec des vendeurs qui retirent leurs biens pour attendre des jours meilleurs, et des acheteurs qui ne se pressent plus car impactés par la baisse des marchés, et échaudés par la hausse des taux d'intérêt. En parallèle, le dollar fort, au détriment de l'euro notamment, freine également les investissements étrangers. On se retrouve donc dans un marché atone, typiquement un marché d'acheteurs, bien que cela ne se traduise pas par une baisse des prix à ce stade. On peut néanmoins espérer de meilleures marges de négociation.

Dans l'ancien, mais surtout dans le neuf. De nouveau, alors que les vendeurs individuels new-yorkais peuvent se permettre de patienter jusqu'à la reprise de l'activité (probablement au printemps prochain), les promoteurs (ou "sponsors" dans le langage new-yorkais) n'ont eux pas cette liberté, avec des échéances de financement et réglementaires qui les pressent de solder leur inventaire au plus tôt. Ainsi, c'est plutôt vers ce type de produit qu'il faut se concentrer aujourd'hui et ainsi profiter d'une brève fenêtre de tir où l'on peut aller négocier quelques « soldes », toutes proportions gardées. Si l'on choisit bien le projet et l'approche de négociation, on peut espérer obtenir des remises à deux chiffres.

 Cette opportunité de marché, principalement dans le neuf, ne saurait durer. Les acquéreurs, notamment ceux disposant déjà de dollars (ou d'actifs en dollars), seraient bien avisés de se positionner dans les six prochains mois. Car, sauf nouvel événement exogène, on s'attend à une reprise d'ici le printemps 2023.

BARNES Global Property Handbook 2022

Pendant la crise sanitaire, les acquisitions continuent ! Chacun a dû s’adapter pendant ces deux années et les plus fortunés ont fait de même. Dans un contexte de reprise économique plus rapide que prévu, le classement des grandes villes internationales a une nouvelle fois été chamboulé. Le BARNES Global Property Handbook, publié une fois par an, offre une étude détaillée des marchés immobiliers mondiaux, et la dernière édition venant d'être publiée, constate des résultats prometteurs pour des villes comme Miami, Austin, Tokyo, Genève et Paris, constituant le Top 5 du BARNES City Index, un mélange de valeurs sûres et de paris sur l’attractivité économique.

« En 2022, le BARNES City Index n’a jamais été aussi varié, mettant en avant des progressions fulgurantes comme Madrid, Moscou et Prague, mais aussi des valeurs sûres traditionnelles comme Londres, New York et Tokyo. Le reflet des mutations engendrées par la crise sanitaire et surtout la capacité d’adaptation des grandes fortunes », commente Thibault de Saint Vincent, Président de BARNES.

Dans le haut du classement apparaissent cinq villes qui ont su convaincre les investisseurs à la fois pour leur attractivité et leurs fondamentaux : Miami, déjà surprise du Top 2020 où elle était 4e, s’arroge la 1ere place, suivie par Austin qui bondit de la 24e à la 2e place. Tokyo reste bonne troisième, suivie par Genève qui progresse de la 8e à la 4e place et de Paris, remontant de la 7e à la 5e place. Les États-Unis se taillent donc la part du lion en raison de développements économiques fulgurants, tandis que le Japon et l’Europe, « l’Ancien Monde », parviennent à se réinventer.

« La vieille Europe retrouve son statut d’antan, avec cinq villes dans le Top 10 (Genève, Paris, Londres, Madrid, Stockholm), témoignant un retour aux valeurs sûres traditionnelles qui étaient, avant la crise sanitaire, les grandes habituées du BARNES City Index », explique Thibault de Saint-Vincent. Il en est de même pour New York et Toronto, qui font également leur retour. 

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