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Art de Vivre : BARNES s'implante dans le Westchester et le Connecticut

BARNES realty est implantée à l'international, avec plus de 100 bureaux à travers le monde dans 20 pays différents, dans des destinations phares et des capitales mondiales dignes de sa réputation. C'était juste la prochaine étape pour ouvrir un bureau à Larchmont, Westchester, une banlieue très convoitée de New York, à 40 minutes de Manhattan en train. La région est très recherchée par les navetteurs new-yorkais et les gestionnaires de fortune, et de plus en plus de personnes travaillant plus loin des grandes villes comme New York.

La branche du Connecticut est encore en développement, mais en bonne voie, et les Hamptons suivront probablement peu de temps après.

La prochaine étape logique pour la marque est donc une présence accrue sur le marché immobilier de ces lieux de premier plan comme Westchester, Connecticut et The Hamptons, permettant à BARNES d'assister ses clients localement avec le meilleur niveau de service possible.

New York n'est pas mort – Le marché immobilier toujours fort

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La pandémie du COVID-19 a changé notre façon de nous comporter et a eu un impact économique et social profond sur les sociétés du monde entier. Il n'est donc pas surprenant que le marché immobilier ait été impacté, surtout dans une mégalopole comme New York, où le prix des logements peut amener les gens à vivre à proximité les uns des autres dans des appartements exigus. C'était aussi une réaction naturelle de vouloir s'éloigner de la ville, pour une banlieue, ou même encore plus loin, où il est possible de louer une maison spacieuse et profiter de l'air frais et de la verdure.

Cependant, New York sera toujours New York, et malgré une baisse des loyers et des prix de vente au cours de l'année 2020, les prix sont maintenant revenus à un niveau pré-pandémie, et les gens sont prêts à retourner dans la Big Apple animée. Le marché immobilier de New York est toujours fort et résilient, et il existe encore de belles opportunités, en particulier dans les programmes neufs.

BARNES vous accompagne dans toutes vos démarches immobilières à New York et à l'étranger grâce à son réseau international et mondial, et ses 100 bureaux dans les destinations et capitales mondiales les plus convoitées, avec trois expansions prévues : à Greenwich, Connecticut, dans les Hamptons et dans le New Jersey.

Vendre son logement quand on divorce : quelles sont les démarches ?

Par Myriam Benhamou,

L’une des difficiles conséquences d’un divorce est qu’il faut souvent vendre le domicile familial. Bien sûr, un logement se vend souvent et pour des raisons variées – par exemple, le besoin ou le désir d’acheter plus grand ou plus petit, ou encore de changer de quartier ou de ville – et bien que ces événements puissent assurément être une cause d’anxiété et de trépidation, on peut généralement assumer que les vendeurs vivront relativement bien cet évènement et que la plupart attendront même avec impatience de déménager dans leur prochaine maison. Mais lorsque la motivation est un divorce, la situation risque d’être tout à fait différente, et à moins que le divorce ne soit à l’amiable, il y a de fortes chances pour que la vente soit beaucoup plus difficile.

Pour mieux comprendre la situation, il faut préalablement parler de l’importance du domicile familial avant de définir les défis que peuvent apporter la vente du domicile, pour enfin commenter sur la façon de relever ces défis et l’atout que peut représenter un agent immobilier spécialisé dans le divorce.

L’importance du domicile familial

Pour commencer, le domicile est un actif aux significations variées pour les parties concernées et qui se compliquent quand il y a des enfants qui vivent encore à la maison.

  • Il y a d’abord l’aspect affectif – le domicile contient des souvenirs et pour beaucoup, des souvenirs d’une époque plus heureuse où les époux pouvaient développer leurs rêves et faire des projets ensemble pour l’avenir. Il a été, entre autres, le témoin des premiers pas du bébé, des fêtes d’anniversaire ou des dîners de fête en famille. Et même si les souvenirs heureux peuvent s’être progressivement transformés en mauvais souvenirs (parfois même en cauchemars), il est néanmoins souvent difficile d’accepter de devoir quitter le domicile, et c’est souvent à cause de ce que le domicile familial représente traditionnellement.
  • En effet, le domicile familial est généralement synonyme de stabilité, de sécurité (en particulier pour les enfants) et pour certains, même de statut social. 
    • Il permet de délimiter le périmètre familial et donner un appui aux membres de la famille.
    • Il contribue au sentiment d’appartenance et à la notion d’identité.
    • C’est un sanctuaire qui protège notre intimité et qui abrite tout ce qui nous tient à cœur et auquel nous sommes attachés (que ce soient personnes, effets personnels ou souvenirs).
    • Enfin, il préserve le lien familial et social et c’est donc l’endroit où les enfants sont censés s’épanouir. 

Pour le conjoint qui est forcé de quitter le foyer, cela peut avoir des conséquences catastrophiques ; conséquences souvent amplifiées dans le cadre des « divorce gris » où les couples se séparent sur le tard, après plusieurs décennies passées ensemble. Ces divorces sont difficiles pour les deux parties, mais malheureusement, souvent encore plus pour les femmes que les hommes, et peuvent porter un coup dur aux finances des deux époux. Il est en effet plus difficile de se reconstruire financièrement pour des raisons évidentes ayant trait à l’âge et au fait qu’il ne reste plus autant de temps pour trouver du travail ou continuer à travailler. De même, l’un des conjoints peut ne pas avoir eu le même progrès de carrière ou le même potentiel de gains. Il en résulte que le parcours de vie d’un ou des deux conjoints va souvent être complétement perturbé.

Alors, quels sont les défis ?

Les défis

Ils sont nombreux et présents à chaque étape de la transaction.

  • Motivation.  Les motivations des conjoints et ce qu’ils attendent de la vente peuvent être complètement différentes. Prenons le cas du conjoint qui veut vendre au plus vite (et donc pas forcément au plus haut prix) pour pouvoir recommencer sa vie avec la personne qu’il ou elle a déjà rencontré. Pour l’autre conjoint cependant, le divorce veut dire que ce conjoint va devoir quitter son appartement pour un autre et plus le prix de vente du domicile familial est élevé plus les chances de ce conjoint de trouver un appartement décent augmentent.
  • Accord de vente exclusif. Si les deux conjoints sont sur le titre de propriété, les conjoints doivent tous deux signer l’accord exclusif de vente avec l’agent immobilier - ce qui signifie que l’agent représentera les deux parties, dans une situation qui peut être très conflictuelle.  
  • Manque de coopération. Représenter un couple peut être difficile dans le meilleur des cas, mais au moins les époux ont un objectif commun : vendre le domicile pour le meilleur prix possible et il est donc raisonnable d’anticiper pouvoir trouver un commun accord ; mais ici les objectifs sont différents, les motivations sont différentes et surtout la vente aura des conséquences qui peuvent être radicalement différentes pour chaque partie. Il y a donc de fortes chances pour que les parties prennent des décisions séparément et arrivent à une décision conflictuelle sur à peu près tout et n’importe quoi.
  • Prix de vente. Avant de pouvoir signer le contrat d’exclusivité avec l’agent immobilier, les parties doivent convenir du prix de vente. Plusieurs scénarios peuvent se présenter : une partie est très attachée émotionnellement à la maison et pense qu’elle vaut beaucoup plus qu’en réalité ; ou bien une partie peut vouloir obtenir le plus d’argent possible parce qu’il ou elle en a besoin pour l’après divorce car son avenir financier peut dépendre du montant qu’il ou elle tirera de la vente ; ou bien les parties en sont arrivées tout simplement à se détester et ne veulent pas coopérer. Cela peut conduire à des combats acharnés entre les époux où la relation antagoniste l’emporte sur la raison.  
  • Dynamique de vente. Les parties doivent en effet également s’accorder sur des détails tel que la préparation du domicile pour la vente (par exemple désencombrer et mettre en garde-meubles, ce qui demande une certaine coopération et d’autre part, coûte de l’argent) ; les horaires acceptables pour les visites des acheteurs potentiels ; ou encore, combien dépenser pour la publicité ou le marketing.
  • Offre. Les deux parties doivent l’accepter et être en mesure de la négocier.
  • Clôture du contrat / Finalisation de la cession. Enfin, les conjoints doivent accepter et signer les documents nécessaires pour la clôture du contrat, ce qui là aussi demande une certaine coopération.

Comment relever ces défis et l’atout que peut représenter un agent immobilier spécialisé dans le divorce?

Quelle est donc la meilleure façon de relever ces défis – et pourquoi est-il important de faire appel à un agent immobilier spécialiste en divorce ? Comme il a été démontré, une vente due à un divorce ne peut pas être traitée comme une transaction régulière parce qu’il ne s’agit pas d’une transaction régulière.

  1. Pourquoi un agent immobilier spécialiste en divorce est un atout

Afin de pouvoir recevoir sa certification de « Real Estate Certified Divorce Specialist », cet agent a suivi une formation préalable qui lui permet faire face à ces défis et de reconnaître les problèmes et, généralement, les traiter avant qu’ils ne deviennent ingérables. Ce spécialiste est mieux équipé qu’un agent plus traditionnel pour assister un couple qui divorce parce qu’il ou elle a une meilleure compréhension des ramifications d’un divorce (que ce soit financières, légales, ou psychologiques) et de son impact sur la vente du domicile. L’agent peut donc apporter le soutien nécessaire au couple pendant tout le processus. 

2. Comment relever ces défis ?

Il est important de travailler avec un agent immobilier qui saura :

  • Rester neutre. L’agent doit tout d’abord se rappeler que l’agent représente les deux parties et qu’elles peuvent être très peu susceptibles de coopérer l’une avec l’autre – mais néanmoins, l’agent doit rester neutre et impartial, et doit adopter une approche diplomatique à l’égard de chaque décision (y compris savoir quand il est conseillé de donner aux parties l’espace dont elles ont besoin pour parvenir à un consensus). Ce n’est pas toujours facile car, dans certains cas, l’un des époux a déjà quitté le domicile conjugal ce qui veut dire que par nécessité (par exemple, organiser les visites) l’agent a tendance à être plus en contact avec l’un des époux que l’autre, et parfois cet époux devient progressivement plus à l’aise et peut se laisser aller à quelques confidences qui peuvent impacter la neutralité de la représentation.
  • Communiquer. L’agent doit expliquer très clairement comment il ou elle a l’intention de communiquer avec les deux parties (en gardant à l’esprit que les deux doivent être tenues au courant en tout temps et de la même manière).
  • Se fier aux faits. Décider de la valeur du domicile peut être difficile car les parties ont souvent des idées très différentes sur la valeur du domicile en question. L’agent doit proposer un prix de vente qui est clairement ancré dans la réalité. Il ou elle devra donc préparer une évaluation détaillée, étayée par des faits et où l’agent devra en effet démontrer en détail les ventes comparables antérieures pour faire comprendre que le prix proposé est conforme au marché. C’est également une façon de retirer l’aspect affectif de l’équation.
  • Rester flexible. L’agent doit savoir rester flexible (et patient !). Certains conjoints, en effet, deviennent de véritable maîtres dans l’art de retarder la vente.

Myriam Benhamou, agent immobilier agréée et spécialiste agréée du divorce en immobilier, est à votre disposition, toujours impatiente de répondre à vos besoins en matière de logement et de protéger votre meilleur intérêt. Contactez BARNES New York ci-dessous pour nous communiquer vos besoins.

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Situation du marché immobilier New Yorkais et nouvelle série de webinaires

Les frontières réouvrent ! Enfin… Nombre d’entre vous n’attendaient plus que ce signal pour venir retrouver la Grosse Pomme et concrétiser ce projet immobilier mis en dormance depuis bientôt deux ans. Vous arriverez alors dans un contexte de marché tendu d’un certain côté mais rassurant de l’autre. Et c’est justement ce côté rassurant, stable et résilient du marché new-yorkais qui en fait une place immobilière incontournable.

En effet, et comme ce fut le cas par le passé durant d’autres « crises », l’impact de la pandémie Covid-19 (d’un point de vue strictement immobilier s’entend) n’a été ressentie ici que d’une manière limitée (baisse des prix dans l’ancien de l’ordre de 10 à 15% courant 2020), et temporaire (concentré sur Q2 et Q3 2020). Les impacts majeurs se sont surtout ressentis sur l’immobilier neuf, les locations et l’immobilier commercial.

Aujourd’hui, l’immobilier résidentiel est revenu à son niveau pré pandémie et les marges de négociation sont désormais restreintes dans l’ancien ; nous sommes clairement dans un « marché de vendeurs » avec un inventaire limité et une demande soutenue.

Dans le neuf, les « soldes » dont nous avons fait la promotion en 2020 sont plutôt terminées. L’inventaire restant encore important, Il subsiste encore quelques marges de manœuvre intéressantes, pour autant que l’on soit bien accompagné. C’est justement le but de la mise en place par BARNES New York d’un webinaire mensuel en français, le premier mardi de chaque mois, présentant les différents programmes neufs new-yorkais, mettant en avant notre expertise dans le domaine. Rendez-vous pour le premier opus mardi prochain, le 5 octobre à 12pm EST (heure de New York) / 18h (heure de France) pour découvrir les programmes suivants :

  • 300 West (West Harlem)
  • The Ritz-Carlton Residences (NoMad)
  • St Marks Place (Boerum Hill, Brooklyn)

N'hésitez pas à nous contacter pour vous inscrire gratuitement !

Le secteur locatif est lui tout à fait rétabli avec un marché très à l’avantage des propriétaires. Quant à l’immobilier commercial, il continue de souffrir dans une certaine mesure, avec un rétablissement complet, du moins une correction stabilisée, attendue d’ici 2023 au minimum.

Notre équipe d’experts, multilingues, poursuit son expansion, avec notamment un nouveau bureau dans le comté huppé et multiculturel de Westchester ; et reste comme toujours à votre entière disposition pour vous accompagner dans la réalisation de votre projet immobilier new-yorkais.

Acheter un bien immobilier à New York : conseils d’experts

Bien vivre aux États-Unis :
le 1er salon digital pour les Français des USA

BARNES New York & Westchester vous invite à la conférence dédiée au marché immobilier new-yorkais, "Acheter un bien immobilier à New York", à l’occasion de sa participation au salon en ligne "Bien Vivre aux États-Unis".

Cet événement numérique aura lieu le lundi 13 septembre à 12h00 (fuseau horaire EST). Le salon s'étendra ensuite toute la semaine jusqu'au 17 septembre en présentant un ensemble de conférences avec des experts pour accompagner les expatriés aux États-Unis, que vous y soyez installés depuis longtemps ou rêviez d’y vivre.

Yann Rousseau, directeur associé de BARNES New York & Westchester, se joindra à la discussion avec Betty Benzakein d’HSBC et Amélie Deschênes d'OFX, abordant notamment :

  • Le processus d’acquisition et de location à New York
  • Le point sur l’état du marché immobilier à New York & dans le Westchester sur le troisième trimestre 2021
  • Les formalités d’installation ou de “relocation”
  • Les quartiers à privilégier
  • Les différents produits immobiliers disponibles
  • Le rôle de l’agent immobilier

Lundi 13 septembre à 12h00 EST / 18h00 CEST

Cet événement est parrainé par USAFrance Financials et organisé par French Morning.

Le Nouveau Manhattan – REAL ESTATE IN DEPTH

Par Marie Prénon. Source : www.realestateindepth.com/news/the-new-manhattan

Malgré la récente augmentation des cas COVID et du variant Delta dans la région métropolitaine de New York, la ville de New York est de nouveau ouverte aux affaires. La plupart des théâtres de Broadway rouvrent en septembre, les restaurants et les bars permettent désormais aux clients vaccinés de dîner à l'intérieur et le marché immobilier résidentiel bat son plein.

Les nouveaux développements sont en plein essor - de Hudson Yards à Penn Station à Roosevelt Island - et les marchés de la vente et de la location à Manhattan voient apparaître un afflux de jeunes professionnels, ainsi que de parents dont les enfants ont quitté le nid, prêts à faire de la Big Apple leur maison.

Brian Tormey, président, TitleVest

Au cours de l'année dernière, Brian Tormey de TitleVest à Midtown Manhattan a pris le pouls du marché immobilier résidentiel, organisant une série de webinaires « Be Your Best » sur « Get the Deal Done », parrainé par la Hudson Gateway Association of Realtors et OneKey MLS, tout au long de la pandémie. Récompensé par le titre de « Meilleure agence » par le Journal de droit de New York classement des lecteurs depuis 2013, TitleVest et Tormey sont à l'avant-garde d'un marché immobilier à l'envers depuis mars 2020.

« J'ai été impressionné par la résilience que j'ai constatée chez les professionnels de l'immobilier dans toute la région de New York », a déclaré Tormey. « La pandémie a prouvé une fois de plus l'une des forces de notre région : nous savons prendre soin les uns des autres. »

Le 9 septembre, Tormey organisera un autre de ses webinaires populaires, cette fois sur le thème « The New Manhattan ». Tormey et un panel d'experts immobiliers discuteront de la façon dont la «ville qui ne dort jamais» autrefois abandonnée fait son retour officiel, après une année éprouvante, retrouvant des rues grouillantes de camionnettes de déménagement se dirigeant vers les banlieues.

Maintenant, des programmes neufs civiques et privés semblent alimenter un nouvel intérêt pour New York et Manhattan en particulier. « Pour citer un bon ami et ancien panéliste, Bruce Cohen, « pour chaque vente, il y a un achat. Maintenant, nous commençons à voir le temps sur le marché raccourcir et les prix augmenter, deux indicateurs d'un marché en renforcement », a déclaré Tormey.

En raison de l'augmentation des concessions des vendeurs, des faibles taux d'intérêt et des stocks disponibles au plus fort de la pandémie, Tormey et son équipe ont commencé à voir un intérêt de la part d'acheteurs qui n'avaient peut-être pas normalement les moyens de s'offrir Manhattan. "Des gens de tous horizons en ont profité pour passer de la location à la propriété, augmenter, réduire ou, pour la première fois, s'emparer de leur propre part du gâteau de Manhattan", a-t-il noté. "Je pense que nous reverrons bientôt un Manhattan animé, même si cela sera sans doute un peu différent d'avant, avec des horaires de travail ajustés, de nouveaux modes de déplacement et une appréciation renouvelée de la vie en plein air."

Brian Phillips de Douglas Elliman Real Estate dans le Bronx convient que l'immobilier à New York est de retour. « Je vois certainement des gens revenir et j'ai remarqué beaucoup de jeunes, en particulier sans enfants », a-t-il déclaré. "Bien que les prix post-pandémie soient plus bas, je pense qu'ils vont commencer à remonter lentement."

Phillips, qui répertorie et vend dans les cinq arrondissements, a noté que les studios et les appartements composés d'une chambre à coucher séparée se sont arrachés très rapidement. "Je constate également qu'il y a beaucoup moins de loyauté envers des quartiers spécifiques - les gens recherchent à Manhattan, Brooklyn, Queens ou partout où ils peuvent trouver de bonnes affaires", a-t-il ajouté.

Certains de ses clients viennent d'aussi loin que la Floride, tandis que d'autres viennent de Westchester, de Long Island, du New Jersey et du Connecticut. «Les gens veulent toujours être à New York – les bureaux rouvrent, Broadway revient et les restaurants et les bars rouvrent. Il y a certainement un nouvel afflux dans la ville.

Actuellement, dans le "Hupper Manhattan", les prix d'un appartement d'une chambre en coopérative commencent à environ $300 000 pour un immeuble sans ascenseur, là où un immeuble avec ascenseur ou portier commence à environ $400 000. Les prix des appartements de deux chambres sont beaucoup plus élevés, en moyenne $500 000. "Plus vous allez vers le nord, moins cela coûte cher et plus vous avez d'espace", a ajouté Phillips.

Une maison de ville de 3 436 pieds carrés, cinq chambres et cinq salles de bain et demie à Hamilton Heights, Manhattan, proposée à la vente par l'équipe Brian Phillips de Douglas Elliman pour $2 450 000.

Plusieurs de ses clients demandent également une terrasse, ainsi qu'une machine à laver et un lave-linge situés dans l'unité. « Après COVID, je pense que tout le monde est plus soucieux d’avoir ses propres appareils personnels plutôt que d’utiliser une buanderie publique dans le bâtiment », a-t-il déclaré.

En ce qui concerne les locations, Phillips voit les concessions des propriétaires commencer à s'estomper. « Pendant la pandémie, de nombreux propriétaires offraient un mois gratuit sur un bail d'un an et deux mois gratuits sur un bail de deux ans », a-t-il expliqué. « De plus, nous commençons à voir à nouveau les frais immobiliers payés par le locataire, contrairement au propriétaire qui les payait pendant la période du COVID. »

Grâce à la diversification de son inventaire, Phillips n'a pas connu de ralentissement pendant la pandémie. Il a découvert du mouvement sur les propriétés de moins de $500 000 dans les cinq arrondissements. "Depuis l'année dernière, les transactions sont également plus rapides", a-t-il noté. "Il existe des signatures électroniques et d'autres formes de technologie qui rendent les transactions beaucoup plus rapides et plus fluides."

Magdalena Ferenc de Corcoran dans le West Side de Manhattan a connu un énorme bond des ventes et des locations cet été. S'occupant des locations dans 10 bâtiments à Morningside Heights, elle attribue aux étudiants de l'Université de Columbia le mérite d'avoir aidé son entreprise à monter en flèche. "Juillet a été le mois le plus fou de ma carrière dans l'immobilier", a-t-elle révélé. « J'ai loué plus de 50 appartements et j'avais l'impression de travailler jour et nuit à cause du décalage horaire dans les autres pays.

Beaucoup de ses clients locataires reviennent d'Inde et de Chine, partageant souvent des appartements plus grands pour maintenir les coûts abordables. Ferenc prévoit de louer au moins 200 appartements d'ici la fin de l'année. "Je suis essentiellement en train de rattraper le retard accumulé sur l'année de 2020, lorsque les choses étaient beaucoup plus lentes", a-t-elle ajouté.

Comme Phillips, Ferenc a également connu la tendance des propriétaires à réduire les bénéfices pour attirer les locataires. Dans la région de Morningside Heights, les prix des locations de deux chambres peuvent généralement commencer à $2 200 par mois, tandis que trois chambres peuvent aller jusqu'à $2 700 ou plus et quatre chambres, $3 000 et plus.

Du côté des ventes, elle assiste également à une sorte de Renaissance à Inwood et dans le Bronx avec Origin North, une collection de neuf bâtiments en coopérative abordables et restaurés. Toutes les unités rénovées ont de nouvelles cuisines, salles de bains, revêtements de sol, travaux d'éléctricité, et les bâtiments offrent également de nouveaux halls et un aménagement paysager extérieur.

"Les gens commencent à découvrir les quartiers du nord de Manhattan ou du Bronx comme Bedford Park, Norwood et University Heights", a-t-elle déclaré. « Ils sont hors de prix dans d'autres régions et commencent à réaliser la valeur de l'accession à la propriété dans de bonnes zones avec un espace généreux et des trajets faciles vers Midtown Manhattan. Les unités d'une chambre dans certains emplacements à Origin North sont accessibles à partir de seulement $265 000.

Ferenc a déclaré que la réponse du public a été excellente et qu'elle a déjà conclu près de 20 transactions. « Lorsque j'organisais des journées portes ouvertes dans ces zones auparavant, seuls les voisins curieux se présentaient souvent », a-t-elle déclaré. "Maintenant, c'est très encourageant de voir beaucoup de gens qui sont intéressés."

Une coopérative d'une chambre et une salle de bain à Bedford Park, Bronx, mise en vente par Corcoran pour $265 000.

Yann Rousseau, de BARNES New York situé à Midtown Manhattan, a constaté que les locations haut de gamme étaient les plus durement touchées pendant la période COVID. "Les affaires ont commencé à reprendre au début de 2021 et en ce moment, nous commençons à voir des prix de location que nous n'avons pas vus depuis quelques années", a-t-il déclaré.

Pour l'équipe de Rousseau, le Financial District et Midtown ont été les plus touchés pour la vente et la location, tandis que Soho, Greenwich Village et certaines parties de Brooklyn sont restés stables. En 2020, certains propriétaires offraient jusqu'à quatre mois gratuits, mais maintenant, a-t-il dit, il n'y a pratiquement plus de concessions.

Dans Midtown et l'Upper East et West Side de Manhattan, les locations de studios peuvent aller de $2 000 à $4 000 par mois, tandis que les appartements d'une chambre peuvent exiger des loyers mensuels de $3 000 à $5 000, selon les quartiers et l'âge des immeubles. Le prix de vente moyen d'un studio dans ces zones est de $500 000.

"Je pense que le marché de la location sera toujours là parce que New York peut être transitoire", a expliqué Rousseau. « Les gens peuvent venir ici pendant un certain temps pour travailler, puis déménager en banlieue lorsqu'ils sont prêts à fonder une famille.

Bon nombre de ses ventes de coopératives et de condos sont des investisseurs étrangers qui recherchent un port d'attache lorsqu'ils voyagent aux États-Unis. D'autres achètent des propriétés pour ensuite les louer. Rousseau voit aussi un afflux de jeunes professionnels ainsi que de parents dont les enfants ont quitté le nid qui veulent une résidence secondaire à Manhattan. "New York sera toujours New York, alors dire que le marché immobilier revient enfin est un peu exagéré", a-t-il déclaré.

BARNES New York ouvre également son premier bureau à Westchester à Larchmont pour accompagner ses clients européens à la recherche d'une résidence secondaire en banlieue. « L'école franco-américaine de Mamaroneck attire beaucoup de familles, ainsi que la proximité de New York, a ajouté Rousseau. BARNES International Real Estate exploite un troisième bureau aux États-Unis, situé à Miami, et possède des agences dans plus de 100 sites dans 20 pays à travers le monde, avec plus de 1 000 agents.

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BARNES International fait découvrir l'Art de Vivre à la française aux États-Unis

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BARNES International est en pleine expansion, après avoir été présent aux États-Unis pendant plus d'une décennie. Avec des bureaux à New York et Miami, BARNES est en passe d'ouvrir une toute nouvelle agence à Larchmont, au nord de New York.

BARNES, acteur majeur de l'immobilier résidentiel haut de gamme et ambassadeur de l'Art de Vivre, accompagne ses clients dans toutes les dimensions de leurs ambitions de vie. Découvrez l'un des groupes immobiliers de luxe internationaux les plus reconnus et les plus fiables au monde, établi dans toute la région de New York, avec une présence importante dans Westchester et les Hamptons, aussi bien qu'à Miami. À terme, l'objectif de BARNES sera de se développer dans les Hamptons et Greenwich, Connecticut.

Établi avec plus de 100 bureaux dans environ 20 pays, y compris les plus grandes villes internationales et les principales destinations de vacances, BARNES propose une sélection exclusive de propriétés haut de gamme en Europe, aux États-Unis, au Moyen-Orient, dans l'océan Indien et dans les Caraïbes. Des hôtels haut de gamme du monde entier, châteaux emblématiquespropriétés équestresvignobles dans les plus grands domaines viticoles et un service de conseil en art, BARNES propose une large gamme de services sur mesure qui s'adapteront aux besoins spécifiques de chaque client. Avec une équipe véritablement internationale, nous accueillons tous les clients et les accommodons dans leur langue maternelle autant que possible.

La marque propose à ses clients une expertise mondiale à travers ses services de conseil en arbitrage d'investissement pour l'immobilier international et un accompagnement de proximité sur mesure, vous assistant dans chacun de vos besoins immobiliers.

BARNES New York & Westchester, partenaire de la soirée cinéma Drive-in de la FASNY

BARNES New York & Westchester a eu l'incroyable opportunité de parrainer la soirée cinéma drive-in de la FASNY (French-American School of New York), qui s'est déroulée avec grand succès le 23 avril 2021. Cette excellente soirée fût l’occasion pour la FASNY de célébrer son 40e anniversaire avec entrain sur la route de briques jaunes d’Oz dans un endroit parfait, avec de délicieuses collations et beaucoup de fun.

Afin de renforcer sa présence dans l’Upstate New York, en plus de soutenir la communauté française très représentée dans cette partie nord de l'État, BARNES New York prévoit de s'agrandir très prochainement avec l'ouverture d'une nouvelle agence dans la région de Westchester. BARNES est à votre écoute pour vous accompagner dans tous vos projets immobiliers, à New York même ou dans toute la région métropolitaine. N’hésitez pas à nous contacter.

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À PROPOS DE la FASNY

Le French-American School of New York (FASNY) est une école internationale privée, indépendante et mixte offrant une éducation mondialement reconnue accueillant en demi-pensionnat environ 800 élèves de la Petite Section de maternelle à la Terminale. La FASNY est la seule école de la région métropolitaine à proposer les filières Baccalauréat international et le Baccalauréat français. FASNY est située dans le comté de Westchester, New York, avec des campus à Larchmont et Mamaroneck.

Nouvelle édition du Magazine BARNES - Printemps-Été 2021

C’est avec fierté que nous vous annonçons la sortie du BARNES MAGAZINE #29 . Cette édition internationale Printemps-Été 2021 met à l’honneur Alain-Dominique Perrin , président de la Fondation Cartier pour l'art contemporain. Ce dernier nous accueille dans sa maison de Verbier, un magnifique chalet surplombant la vallée des Alpes suisses, et nous relate son parcours hors du commun, fortement marqué et défini par la créativité dans l'univers du luxe, une passion pour l'Art et une sensibilité pour les grands vins et le patrimoine symbolisé par l'acquisition et la rénovation du Château de Lagrézette, près de Cahors.

Bien entendu, cette nouvelle édition vous permettra également de vous tenir informés des dernières actualités dans les domaines du design, en découvrant du mobilier d’architectes inédit, de l'architecture, de l'art, du vin, du yachting écologique et de l'événementiel, que vous soyez intéressés par la haute gastronomie française ou le golf, ainsi qu'une panoplie de biens immobiliers dans les lieux les plus branchés.

BARNES poursuit son aventure mondiale en continuant de s’agrandir, et vous présente ainsi des propriétés en provenance de ses nouvelles agences sur le Lac de Côme, en Principauté de Monaco et dans Beaulieu-sur-Mer.

Demandez votre copie gratuite , et bonne lecture !

Nouvelle édition du magazine BARNES avec l'invité principal en page de couverture, et diverses images en arrière-plan représentant l'Art et l'immobilier.

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La Chambre de commerce franco-américaine présente: Yann Rousseau, Managing Partner chez BARNES New York

Rencontrez nos membres: Yann Rousseau, Managing Partner, BARNES New York

Propos recueillis par la Chambre de commerce franco-américaine

Yann Rousseau, Managing partner chez BARNES New York, a eu le privilège d’être interviewé par la Chambre de commerce franco-américaine. Rencontrez l’homme à la tête de l’agence BARNES de New York.

Originaire de France, Yann grandit à Paris mais considère aujourd’hui Bordeaux et Arcachon comme son ancrage familial. Il a obtenu trois mastères en ingénierie environnementale (ENTPE Lyon), économie environnementale (Imperial College London), et gestion des vins et spiritueux (Bordeaux Ecole de Management / KEDGE). Il a résidé dans plus d’une douzaine de villes, dans six pays répartis sur trois continents (France, Seychelles, Royaume-Uni, Italie, Burkina Faso, USA).

Après plusieurs années dans l’humanitaire et le développement (Nations-Unies, diplomatie française, gouvernement seychellois, secteur privé, …), il a franchi l’Atlantique pour suivre son épouse, originaire de Miami. Ils s’y sont installés en 2013, où il a commencé sa carrière de consultant immobilier.

Yann accompagne ses clients pour des locations modestes comme des propriétés prestigieuses, achats sur plans, et acquisitions stratégiques (diversification de portefeuille, plus-value, …). Pour lui, il s’agit d’assister chaque client, quel que soit son budget, quelles que soient ses intentions, afin qu’il accomplisse son projet immobilier en toute sérénité et confiance. Yann inscrit sa relation clientèle dans le long-terme, pour un locataire qui deviendra un propriétaire puis un investisseur.

FACC-NY: En tant qu’ingénieur avec une formation en économie, à la fois dans les secteurs public et privé, ayant vécu dans plus de 6 pays sur 3 continents différents, qu’est-ce qui a guidé votre décision de travailler dans le secteur immobilier avec Barnes New York? 

Cela a commencé par hasard lorsque j’ai déménagé aux États-Unis (Miami) pour suivre ma femme, qui est originaire du sud de la Floride. Sa mère possède un portefeuille immobilier modeste et comme je n’avais pas de projet de carrière majeur, elle m’a demandé de m’en occuper pendant que je réfléchissais. J’ai aimé découvrir une nouvelle industrie et commencer une nouvelle carrière aux États-Unis. J’ai rejoint une boutique de courtage à Miami, puis j’ai rapidement rejoint le bureau de BARNES. Après quelques années là-bas, BARNES m’a donné l’opportunité de relancer l’opération de New York. Nous avons donc déménagé vers le nord fin 2018 et j’ai rouvert BARNES New York aux côtés de mon partenaire Christophe Bourreau. Deux ans plus tard, nous avons recruté 12 agents et doublé la meilleure année d’activité jamais enregistrée pour le bureau. Et nous sommes sur le point d’ouvrir une nouvelle agence, à Larchmont, couvrant la région de Westchester.   

FACC-NY: Comment évaluez-vous l’état actuel de l’immobilier dans la période post-COVID?

C’est une période difficile à définir précisément, car la situation reste fluide. Tout le monde a entendu parler d’un exode de Manhattan, mais quand on regarde les 3ème et 4ème trimestres de 2020, les chiffres sont en réalité encore meilleurs que ce qu’ils étaient à la même période en 2019. Il y a bien sûr un effet non négligeable de «rattrapage» de dernière minute, où les deux derniers trimestres tendent à compenser un début d’année 2020 très lent. Bref, des transactions immobilières restaient à réaliser et la plupart avaient simplement été repoussées en fin d’année. Désormais, en 2021, nous pouvons assister à une forte reprise du côté de la revente, même si le marché reste tendu du côté de la location. C’est définitivement un marché de locataires, et il reste en quelque sorte un marché d’acheteurs, bien que dans des proportions moindres par rapport à 2020. Nous avons constaté une baisse générale de 8% des prix (revente) à Manhattan, certains quartiers résistant mieux que d’autres. Les nouveaux développements souffrent beaucoup plus et nous pouvons facilement obtenir des remises à 2 chiffres. En ce qui concerne la location, les propriétaires se voient obligés d’offrir au moins 2 mois de loyer gratuits s’ils souhaitent trouver des locataires.

FACC-NY: BARNES New York espère-t-il une reprise économique prochaine à New York? 

Compte tenu du niveau de contrariété qui se fait sentir partout dans la ville, il faut rester modeste. Bien que les représentants de l’industrie s’efforcent de nous considérer parmi les travailleurs essentiels, nous sommes simplement ici pour continuer à aider nos clients de la manière la plus sûre possible. Les gens doivent encore se déplacer et trouver un logement. En parallèle, nous continuons à communiquer fortement au sujet de la ville de New York et sur la pertinence d’un tel investissement immobilier, à un moment où l’actualité prétend que tout le monde fuit la ville. New York sera toujours New York, et cela restera l’un des investissements les plus sûrs que l’on puisse faire dans un monde aussi instable.

FACC-NY: Avez-vous constaté une réduction des prix sur le marché immobilier de New York en raison de la pandémie?

En effet, comme indiqué précédemment, une baisse d’environ 8% au total à Manhattan pour la revente et environ 2 mois de loyer gratuits pour les locations. Il s’agit d’une moyenne et certains types de propriétés, par exemple les maisons de ville ou les logements de luxe, souffrent moins et semblent mieux résister à la tempête. De plus, les quartiers les plus recherchés (SoHo, Tribeca, cœur de l’Upper East Side…) n’ont pas été trop touchés, voire pas du tout, à l’opposé des zones qui dépendent fortement des forces du marché. Le «meilleur» exemple est le Financial District et autour des grandes universités (NYU / Columbia), où le manque de fréquentation a définitivement eu un impact sur le marché local. De plus, les nouveaux développements sont les plus touchés par la pandémie, car leurs délais (réglementaires ou financiers) les poussent à solder leur inventaire à tout prix. Les réductions pour cette classe d’actifs peuvent facilement dépasser 20%, ce qui est absolument sans précédent; les marges de négociation pour les nouveaux bâtiments avaient tendance à être proches de zéro dans le passé.  

FACC-NY: Comment choississez-vous les biens à ajouter à votre catalogue dans cette période de « nouveau normal »? Quelles sont les caractéristiques qui rendent un logement particulièrement attrayant pour les acheteurs de nos jours? 

Comme on peut s’y attendre, tout ce qui offre une certaine sensation d’espace, d’air, de respiration ou de verdure, présente un avantage plus fort aujourd’hui. Dans le passé, les gens ne semblaient pas trop se soucier d’une vue obstruée et acceptaient facilement un appartement situé dans les premiers étages en bas d’un immeuble dans une rue sombre, pourvu que l’emplacement était idéal et les infrastructures abondantes. Maintenant, les acheteurs et les locataires se rendent compte qu’ils pourraient avoir à passer beaucoup plus de temps dans leur appartement, et pendant la journée, ils doivent donc pouvoir se sentir moins claustrophobes et oppressés. Les maisons de ville sont un must à cet égard. Et bien sûr, les arrangements «flexibles» sont désormais incontournables. Les logements avec des espaces supplémentaires (tanières, recoins, loggias…) pouvant être utilisés ou transformés en bureau à domicile sont plus attrayants que jamais. 

FACC-NY: Dans quels types de fourchettes de prix voyez-vous le plus de mouvement?

Tout le monde est à la recherche d’une bonne affaire, mais les gens doivent encore déménager et trouver un toit. Fondamentalement, nous n’avons pas constaté de changement important dans les prix car, même si les propriétés à prix d’entrée seront toujours recherchées, les personnes qui peuvent acquérir des propriétés de plusieurs millions de dollars sont dispersées dans le monde entier. Et ce sont eux qui ont un œil particulier sur le marché maintenant pour voir quelles sont les opportunités à saisir. D’un autre côté, nous avons lentement commencé à voir des niveaux de prix que nous n’avions pas vus depuis un certain temps dans la ville, comme des condos à moins de 500 000 $ ou des coopératives à moins de 400 000 $. Le prix d’entrée diminue à coup sûr.

FACC-NY: Qu’est-ce qui vous a amené à rejoindre la communauté de la FACC-NY?

Nous sommes à l’origine une entreprise française, fortement implantée en France où se déroule l’essentiel de l’activité BARNES. Il est naturel pour nous d’être un membre actif de la communauté française partout où nous avons un bureau, et la Chambre de Commerce est souvent un excellent relais à cet effet. De plus, nous sommes souvent le point d’entrée des entreprises et des particuliers qui s’installent dans la Ville depuis la France (ou par le biais d’entreprises françaises), il semble donc absolument indispensable pour nous d’être membres de la Chambre. Nous servons tous les partis intéressés, mais notre clientèle principale reste étroitement liée à la France.

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